Un peu d’histoire
‍de Barre des Cévennes

L’histoire de Barre est celle d’un haut lieu, passé par trois grandes phases très caractéristiques de l’évolution économique des hautes Cévennes.

C’est probablement entre 2000 et 1800 ans avant notre ère que des hommes se sont installés définitivement sur la butte rocheuse qui domine le village, le Castelas. Isolée, elle offrait (et offre encore) une vue dégagée sur l’ensemble de la région; ses pentes escarpées, couronnées par une modeste barre de rocher crénelée, permettait de se protéger aisément.

A l’époque gauloise, cet habitat perché s’est probablement transformé en un modeste oppidum qui valorisait, à peu de frais, les défenses naturelles de ce site remarquable. De cette antique occupation humaine, ne subsiste aucune trace.

Quoi qu’il en soit, on peut présumer que, très tôt, les hommes se sont installés, par commodité, en contrebas de cet escarpement aride, à proximité des sources qui affleurent au contact des schistes et des grès. Quelques menues trouvailles attestent aussi d’une présence romaine.

A cette époque, Barre se situait à proximité de la frontière qui séparait deux grandes tribus gauloises, les Gabales au nord et les Volques Arécomiques au sud. Les premiers avaient pour capitale Javols (Anderitum) ; celle des Volques était Nîmes (Nemausus). Ces Gabales ont donné leur nom à la province : le Gévaudan devenu la Lozère en 1790. Bien plus tard, l’arrivée des Francs dans notre région a, semble-t-il, repoussé vers le sud la frontière du Gévaudan créant ainsi une zone-tampon, la Vallée Française, qui conserverait le nom de ses conquérants venus du Nord.

L’émergence d’un bourg à l’époque médiévale

Vue des collines depuis le Castelas de barre des Cévennes

Au XIᵉ siècle (en 1042 exactement) apparaît, pour la première fois dans un document écrit, le nom de Barre.
En 1052, est mentionné le « Château » (castrum en latin, castel en occitan), propriété d’un seigneur nommé Frédol.
Ce fortin de pierre et de bois s’élevait à l’extrémité orientale de cette butte. 

C’est probablement dans la première moitié du XIIIᵉ siècle que le castrum fut définitivement abandonné.
Un document de 1265 signale un « château neuf » qui s’élevait au milieu de la localité.
À cette époque, Barre n’était encore qu’un obscur village.
Lentement, il allait se hisser au rang de bourg dans le courant du XIVᵉ siècle.
En 1329, Barre obtenait le privilège royal d’avoir un consulat, autrement dit d’être administrée par deux consuls, les ancêtres de nos maires et de nos premiers adjoints actuels.
C’était reconnaître au bourg et à sa communauté d’habitants une importance certaine. Par comparaison, Marvejols (pourtant bien plus importante) n’a eu des consuls qu’en 1366.

Barre était en effet qualifiée de « ville » dès 1440.

Malgré les incertitudes et les lacunes de la documentation, Barre était devenue, à la fin du XVè siècle, l’une des principales « villes » du diocèse de Mende.

Relativisons : elle n’était « ville » qu’à l’échelle du Gévaudan très profondément rural. A l’échelle du Royaume de France, la localité appartenait au vaste réseau de ces bourgs qui jouaient une place essentielle dans l’essor économique du monde médiéval finissant. Barre présentait la double spécificité du bourg médiéval à mi-chemin entre le village et la ville (grande ou petite).

Sur le plan économique, elle concentrait des fonctions marchandes et artisanales : marché hebdomadaire et foires périodiques, lieux d’échanges directs entre producteurs et consommateurs, lieux fréquentés par des marchands venus d’ailleurs (les forains). Les artisans y étaient relativement nombreux, tournés vers la production d’objets de consommation courante (outils, vêtements, chaussures…) répondant à la demande locale. A cette spécificité économique, s’ajoutait une spécificité politique. Le bourg était souvent une création seigneuriale, dictée par l’intention de tirer profit de la fiscalité assise d’emblée sur son marché et ses foires (le seigneur percevait des taxes sur les transactions).

A l’autorité seigneuriale maintenue et matérialisée par une juridiction locale se mêlaient, à des degrés divers, des privilèges économiques et l’autonomie de gestion « municipale ». Ces privilèges apparaissaient comme une condition de la réussite du bourg. Ses habitants bénéficiaient aussi d’une représentation dont l’élite des petits marchands ou artisans locaux ne manquaient pas d’assurer le contrôle. L’obtention du consulat en 1329 peut donc s’interpréter par une volonté ségneuriale de favoriser, en partie à son profit, les activités marchandes d’une localité qui tirait des avantages de sa situation géographique à la jointure de deux régions économiquement complémentaires, les Cévennes et les Causses.

Une ville, une vraie, sous l’Ancien Régime

De bourg, Barre devint une ville en partie grâce à la Réforme
(ses élites ont en effet joué un rôle majeur dans l’implantation
du protestantisme en hautes Cévennes à partir des années 1530).

Barre concentrait alors de nombreuses fonctions politiques, religieuses, économiques et sociales qui en faisaient une vraie ville malgré la taille réduite de sa population (environ 490 habitants à l’intérieur de ses murs !). Ses notables revendiquaient régulièrement ce statut.
C’est aussi à cette époque qu’elle acquit une structure urbaine incontestable avec ses trois rues principales, ses hautes maisons, ses quartiers nettement individualisés et ses foirails.
Elle était alors la seule localité du Gévaudan à être dotée d’un nombre aussi élevé de foires ; la seule ville du Languedoc oriental à pouvoir rivaliser, sur ce plan, avec Barre était… Le Puy-en-Velay !
La vie de nombreuses familles dépendait de ces foires. Pendant leur durée, les Barrois devenaient des hôteliers ou des cabaretiers.

Malgré les guerres de religion (et probablement grâce à elles), la ville avait donc renforcé son importance stratégique et son rayonnement.
De 1703 à 1789, Barre fut la « capitale » administrative des Hautes Cévennes.
Au début de la guerre des Camisards, le diocèse de Mende fut doté d’une seconde subdélégation (on dirait aujourd’hui une « sous-préfecture ») pour mieux contrôler les protestants.
L’Intendant Bâville aurait pu choisir Florac ou Saint-Germain-de-Calberte mais c’est finalement Barre qui abrita le « subdélégué de l’Intendant ».
La position géographique de la localité ainsi que ses nombreuses aménités avaient sans doute pesé dans cette décision.
C’est aussi la raison pour laquelle une garnison militaire, relativement importante, resta en place jusqu’en 1761.

Du déclin au renouveau

Avant la révocation de l’Edit de Nantes (1685), la paroisse de Barre comptait 526 habitants, un maximum jamais plus atteint dans son histoire; la paroisse des Balmes, 109 h. et celle du Bousquet-La-Barthe, 104. Soit un total de 739 habitants.
Après une légère baisse, la population se remit à croître – irrégulièrement – jusqu’au premier Empire (1804-1814).
A cette époque, la commune (qui ne réunissait pas encore Les Balmes et le Bousquet-La-Barthe) comptait près de 500 habitants.
En 1830, ces deux communes furent réunies à celle de Barre : on dénombrait alors 731 habitants.

Le XIXè siècle est celui du déclin de Barre.
A partir de la seconde moitié du Second Empire (1851-1870), commence une longue décrue démographique liée à l’exode rural et aux mutations de l’économie et de la société française.
En 1866, la population communale passait sous la barre (sans jeu de mots !) des 700 habitants. En 1896, on ne dénombrait plus que 546 habitants. La Première Guerre Mondiale, dramatique par ses conséquences démographiques, économiques et sociales accentua la décrue de la population. En 1931, il n’y avait plus que 358 habitants contre 529 en 1906 !

Plan de la commune de Barre-des-Cévennes

« Capitale » déchue, Barre était devenue un village comme tant d’autres en Lozère et en France.

Les foires – qui en faisaient l’orgueil et la renommée – déclinèrent dès la fin de la Première Guerre Mondiale; elles n’étaient plus que 4 en 1928 !
L’agriculture barroise (second secteur de l’économie après les foires) ne résista pas non plus aux profonds changements de l’économie française tout au long des années 1880-1970.
La régression démographique se poursuivit jusque dans les années 80 du XXè siècle.
Les Trente Glorieuses (1945-1975), qui ont transformé si profondément notre pays, n’ont donc pas profité à Barre.
Mais l’Histoire déjoue souvent les plus sombres pronostics.

A l’aube du XXIè siècle, Barre a de bonnes raisons de croire en son avenir.

Elle peut compter sur ses potentialités pour envisager un nouveau développement que l’on peut espérer durable.
La population qui n’avait cessé de diminuer connaît – depuis une décennie – une nouvelle croissance, certes modeste, mais bien réelle.
En 1999, la commune comptait 180 habitants. En 2018, 203.
Le village a connu depuis les années 1980 des transformations paysagères notables qui témoignent de cette nouvelle dynamique : village de vacances, camping, lotissement, nouvelles constructions sur le territoire communal…
Le tourisme et ses activités annexes (comme le bâtiment et l’artisanat) ont permis le maintien de la population.
L’agriculture n’a pas dit non plus son dernier mot.
La proximité du Parc National des Cévennes, est, malgré les contraintes, un atout que l’on ne peut négliger.

Une bibliothèque bien fréquentée est un autre signe de ce renouveau qui passe aussi par la culture.

Internet est là aussi, il contribue à renforcer les liens avec l’espace national, l’Europe voire le Monde.
La future Maison de l’Agropastoralisme va vraisemblablement permettre de dynamiser la commune et d’accroître sa notoriété.
De nouveaux projets municipaux devraient permettre, dans les prochaines années, de mieux valoriser les atouts de cette commune juchée sur les hauteurs : espaces « naturels », forêts, beauté et variété des paysages, faune et flore, climat vivifiant…
Le passé architectural de Barre, mieux mis en valeur, est une donnée importante à prendre en compte pour rendre notre village encore plus attrayant : église romane, temple du XIXè siècle, belles façades bourgeoises, ruelles pittoresques.
Tourisme, activités artisanales et agriculture – dans le cadre d’une maîtrise raisonnée du foncier et du bâri – sont les éléments-clé d’un développement prometteur.

Carte de la paroisse de Barre avant 1830

Les origines de l’actuelle commune de Barre-des-Cévennes

Héritières des paroisses qui s’étaient lentement constituées durant le haut Moyen Age, les communes sont une création de la Révolution Française. Avant 1790, Les Balmes et Le Bousquet-La-Barthe étaient des paroisses indépendantes de Barre mais économiquement et socialement liées à cette dernière.
Chacune possédait une église desservie par un curé. Seules subsistent les églises de Barre et des Balmes, celle du Bousquet est aujourd’hui ruinée depuis son abandon au début du XXè siècle.

Jusqu’en 1830, la paroisse de Barre était « très petite ». Le maire de l’époque insiste sur cette exiguïté : « Son territoire n’a qu’une lieue (1,94 km) de long, du levant au couchant, sur un tiers ou tout au plus une demi-lieue du nord au midi dans sa grande largeur ».
Cette année là, les communes des Balmes et du Bousquet-La-Barthe furent supprimées et réunies à celle de Barre.
Cela faisait exactement quarante ans que les barrois réclamaient « la suppresion et la réunion » de ces deux municipalités très pauvres.
En 1815, une première tentative de regroupement eut lieu. Ce fut un échec pour des raisons que nous ignorons, peut-être fiscales mais sans preuve.
Quoi qu’il en soit, Les Balmes et le Bousquet-La-Barthe n’avaient pas les moyens humains pour former un conseil municipal digne de ce nom.
Il leur était également difficile de trouver une personnalité ayant les capacités requises pour être nommée maire.
Les habitants de ces deux communes fréquentaient Barre quasi quotidiennement. Il est probable qu’ils étaient de ce fait plus attachés à cette commune qu’à celle qu’ils habitaient, totalement dépourvues d’un « centre urbain » et de commerces en tout genre. Finalement, ce n’est qu’en 1830 que la fusion a été réalisée pour former l’actuelle commune de Barre-des-Cévennes.

Barre des Cévennes,
point de départ de la guerre des Camisards,
22 juillet 1702

A Barre, le samedi 22 juillet 1702, c’est la foule cévenole des grands jours pour la foire de la Madeleine, une des plus importantes de la région à l’époque.

A Barre, le samedi 22 juillet 1702, c’est la foule cévenole des grands jours pour la foire de la Madeleine, une des plus importantes de la région à l’époque.
Dans la région, quelques jeunes huguenots, cherchant à fuir la répression royale qui s’est abbatue sur le pays, se sont fait prendre sur le Mont Lozère et sont enfermés au Pont-de-Montvert dans la cave de la maison de l’abbé du Chaila, transformée en prison; ils risquent pour les garçons les galères, pour les filles la prison à la tour de Constance à Aigues-Mortes ou un couvent.
Celui qui leur sert de guide, Massip, risque, lui, la peine de mort. L’abbé du Chaila est présent à la foire de la Madeleine.
Non seulement il refuse toute grâce aux familles qui le supplient, mais se vante publiquement de châtier ses prisonniers comme il se doit. 
Dans la foule, se cachent plusieurs prophètes dont les plus importants sont Esprit Séguier (originaire du Magistavols) et Abraham Mazel (natif de Falguières près de Saint-Jean du Gard).

Ces derniers et leurs compagnons décident alors de se réunir le soir sur la montagne du Bougès, au lieu-dit les Trois Fayards, pour envisager une action de libération.
Le dimanche, ils partent chercher des renforts à Moissac et au Collet de Dèze.
Le lundi 24 Juillet, la troupe quitte, vers 20 heures 30, les Trois Fayards et descend vers le Pont-de-Montvert.
Elle tente en vain d’obtenir de l’abbé qu’il libère les jeunes gens et le guide Massip ; devant les tergiversations de l’abbé du Chaila, ils finissent par mettre le feu à sa maison, libèrent leurs coréligionnaires et tuent l’abbé qui cherchait à s’enfuir.
La guerre des camisards commence à ce moment.
Le groupe quitte le Pont-de-Montvert au petit matin.
Arrivés à Frutgères, ils tuent le curé Reversat, brûlent l’église et continuent vers Génolhac en passant par le Mont Lozère et Concoules.
Le mercredi 26 Juillet, ils se rendent vers Saint André de Lancize en évitant Génolhac.

Le jeudi 27 Juillet, à Saint André de Lancize, les « camisards » tuent le curé Boissonnade réfugié dans le clocher avec le maître d’école.
Ce dernier, blessé, meurt 15 jours après. L’église est brûlée. La troupe se retire sur le Bougès. Le vendredi 28 Juillet, elle se rend au château de la Devèze dans la vallée de Trabassac, habité par une famille noble revenue au catholicisme.
Les « camisards » massacrent la famille et ses domestiques à l’exception d’une servante. Le même jour, la troupe se retire au Plan-de-Font-Mort où elle est attaquée par une compagnie de soldats commandée par le capitaine Poul.
Quatre révoltés sont tués. Pierre Séguier et Pierre Nouvel sont faits prisonniers. Ils seront exécutés quelques jours après ainsi que Moïse Bonnet.
Tous les trois avaient participé à l’expédition du Pont-de-Montvert. Au mois de septembre, la guerre des Camisards commençait.
Elle prit fin à l’automne 1704.

bibliographie

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Jean-Paul Chabrol. La chèvre d’or de Barre des Cévennes, entre légende et réalité. Editions Le Bousquet-La-Barthe, 2021.
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La chèvre d’or. La rue aux couleurs de la vie.

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Nouvelle édition présentée et annotée par Jean-Paul Chabrol. Mémoires de Jacques Bonbonnoux. Alcide éditions, 2011.

Jacques Astor. Dictionnaire des noms de lieux du Midi de la France.Jean-Paul Chabrol (avec Jean Du Boisberranger). Cévennes aériennes. Alcide éditions, 2013.
Roger Lagrave. Une randonnée dans les Cévennes au pays des camisards.
Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Montpellier. Habiter le Grand Paysage.